The Odds c’est un groupe pop/rock de 4 meilleurs potes d’enfance. Porté par une énergie rafraichissante et une complicité évidente, le groupe est composé de Tarka Decamps (guitare/chants), César Calles (guitare/chants), Julien Samuel (batterie) et Alexis Vialatel (basse). À eux 4, ils incarnent audacieusement la relève du rock français avec une vision nouvelle et authentique de la scène musicale rock actuelle. Formé en 2021, The Odds se distingue grâce à sa fusion des esthétiques rock des années 2000 avec une touche moderne dont seuls eux ont le secret, et une grande liberté artistique puisée dans leurs diverses influences.
Leur parcours est marqué par une complicité née dès leur enfance commune parisienne, et des racines profondément ancrées dans la musique, alimentées par des familles musiciennes et des expériences qui ont forgé leur identité sonore. Ils sont aussi bien influencés par Téléphone, BB Brunes que par les Strokes.
Après un premier EP « Danse Animale » en 2024, un passage chez Quotidien avec l’incontournable « Le Détail » en live, et de nombreuses dates de concert à travers la France mais aussi de nombreuses salles iconiques toutes aussi complètes (Supersonic, Bus Palladium, Point Éphémère, Maroquinerie…), The Odds revient plus rockeurs que jamais avec leur second EP Kids, plongeant au cœur de leur génération et de toutes ses contradictions, ses tourments et ses rêves inaccomplis. Cet EP est un hymne à la quête de sens d’une jeunesse tout entière.
Le premier single « Roi » est un titre rock puissant qui exprime un besoin de rupture avec la routine et les normes imposées. Entre critiques de la société et quête d’indépendance, ce morceau incarne la rébellion et l’affirmation de soi avec des riffs incisifs et une énergie brute.
« Bastille » ouvre l’EP sur une fresque de décadence, où chaque nuit ressemble à un jour sans fin. Ce titre capture l’errance et les illusions perdues, un tourbillon de fête qui finit toujours au même endroit : Bastille.
« Joujou » explore les jeux de l’amour et des sentiments, oscillant entre légèreté et profondeur. Derrière ses sonorités accrocheuses, il pose la question de l’authenticité dans les relations et du risque de n’être qu’un simple jouet aux mains de l’autre.
Avec « Enfant de Lucifer », l’EP plonge dans un univers plus sombre, où la perte et le chaos intérieur prennent le dessus. Le contraste entre la douceur musicale et les paroles percutantes renforce la sensation d’un combat intime, entre ombre et lumière.
« Avant qu’elle ne parte » amène une douceur rock, teintée de nostalgie et de douleur. Ce morceau évoque les premiers amours et la difficulté d’accepter leur disparition, dans une atmosphère à la fois poignante et lumineuse.
Enfin, « Sans avenir » clôt l’EP sur une note désenchantée, un feu d’artifice de désillusion. C’est le constat brutal d’une jeunesse meurtrie, prise au piège d’un futur incertain, avec une rage contenue qui explose dans un dernier cri.